Le palmarès

Le palmarès

Ils étaient 36 répartis en 6 équipes, les 24 et 25 janvier dernier à tenter de relever le défi lancé par Pertuy Construction. Une épreuve durant laquelle ils ont dû faire preuve de cohésion et de synergie pour présenter le projet le plus pertinent pour un Pôle Universitaire et convaincre un jury de huit professionnels. Deux équipes ont vu leurs projets retenus par ce dernier. L’équipe lauréate de cette 9ème édition des «24 heures Pertuy Construction» composée, de Nicolas Bene, Estelle Krajkar (ESITC de Metz), Tomas de Ridder (INSA Strasbourg), François Guedel (Ecoles des Mines de Nancy), Alexandre Chanudet (ENSGSI de Nancy) et l’ESC de Dijon Louise Cescut (RSC Dijon), a opté pour un projet d’un Pôle Universitaire à Nancy, sur le site «Stanislas-Meurthe», en raison de ses nombreux atouts, à savoir son attractivité, son accessibilité, et un bâtiment aux normes HQE (Haute qualité environnementale). Une seconde équipe a été distinguée par un prix de l’innovation pour son Pôle Universitaire «Léonard de Vinci», représentant une fleur vue d’en haut, symbole d’une université responsable et consciente de son impact écologique. Les étudiants ont proposé d’intégrer sur le long terme un pôle de compétitivité de 139.000 m2 regroupant des acteurs majeurs du secteur des énergies renouvelables. La volonté des étudiants était ainsi de renforcer les liens entre étudiants, chercheurs et entreprises. Défi relevé pour ces candidats qui ont prouvé qu’ils avaient des nerfs d’acier !

Pro BTP

Nouveau directeur

Nom : Boudaoud. Prénom : Fayçal. Signe particulier : successeur de Jean-François Izambert à la direction régionale du Grand Est de Pro BTP, le groupe de protection sociale des professions du bâtiment et des travaux publics. En provenance de Paris, il prendra ses fonctions au début du mois de mars.

Automobile

Retour vers le futur

Cap sur l’innovation via les matériaux du futur ! C’est sur ce thème que la Chambre régionale de commerce et d’industrie de Lorraine organise, avec l’Université de Lorraine et le pôle Materalia un atelier le 7 février, dans les locaux nancéiens de la CRCIL. Cette opération entre dans le cadre du Comité innovation Automobile de la Chambre. Objectif : rapprocher les entreprises, les centres techniques et les laboratoires de recherche en vue d’identifier des projets d’innovation et de répondre collectivement à des appels à projets, et notamment celui de l’Agence de mobilisation économique de la Région Lorraine. Pour plus d’infos

Bertrand Simon

03 83 90 88 62

Zone ATP

Bientôt neuf ?

ATP pour Association, un Territoire, un Projet ! Cette démarche, initiée au sein du Grand Nancy dans l’objectif «d’être aux côtés des associations de chefs d’entreprises des principales zones d’activités de l’agglomération», comme le stipule l’intercommunalité, pourrait s’étendre à une partie d’entreprises du Sud meurtheet- mosellan, limitrophe du territoire du Pays du Sel et du Vermois. Les choses avanceraient dans ce sens et une neuvième ATP pourrait donc voir le jour après celle du Dynapôle, des Rives de Meurthe, de Nancy Porte Sud, de la Grande Sapinière, des sites Saint Jacques de Maxéville, de Nancy Porte Nord, de Nancy Porte Verte du Technopôle de Nancy Brabois.

ICN

Prof de renom

Nom : Gendron. Prénom : Corinne. Signe particulier : experte mondiale en économie verte et développement durable et nouveau professeur au sein de l’ICN Business School. Le recrutement de cette «pointure» est le résultat d’un appel à projet lancé par le Conseil régional de Lorraine. Nom de code de l’opération : «Chercheur d’excellence». Objectif : renforcer la présence internationale en Lorraine. La venue de Corinne Gendron va permettre de booster le projet de recherche initié par la Région sur la dynamique de l’économie verte en Lorraine. «Aujourd’hui, les sociétés sont engagées dans un processus de modernisation de leurs économies et doivent assurer la transition vers les économies vertes. Ce projet de recherche s’interroge sur la nature et la forme même de l’économie verte, mais également sur les innovations au coeur du processus de modernisation ou encore les institutions à travers lesquelles elle sera structurée, ainsi que les participations différenciées des acteurs sociaux», explique Christophe Choserot, conseiller régional, délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche.