L’ACE en mode «bonnes nouvelles»

Que des bonnes nouvelles au menu du dernier petit déjeuner de l’association ACE (Avocats Conseils d’entreprises) Lorraine le 19 mars à la brasserie nancéienne Excelsior-Flo. Les dirigeants de PME présents ont apprécié mais ils sont loin d’être dupes.

Les «bonnes nouvelles» étaient au menu du petit déjeuner de l’ACE Lorraine le 19 mars.
Les «bonnes nouvelles» étaient au menu du petit déjeuner de l’ACE Lorraine le 19 mars.
Les «bonnes nouvelles» étaient au menu du petit déjeuner de l’ACE Lorraine le 19 mars.

Les «bonnes nouvelles» étaient au menu du petit déjeuner de l’ACE Lorraine le 19 mars.

Des actes de cession de parts sociales simplifiée en passant par une jurisprudence assagie qui semble prendre en compte la réalité économique des entreprises, voire même la fin de la rétroactivité des lois fiscales. Les dirigeants de PME attablés le 19 mars dernier dans le caveau de la brasserie Excelsior-Flo à Nancy à l’occasion du dernier petit déjeuner de l’association ACE (Avocats Conseils d’Entreprises) n’en reviennent presque pas de cet afflux de bonnes nouvelles.

Penser le changement…

Les bonnes nouvelles, l’exercice imposé aux intervenants du jour : Maîtres Jean-Christophe Monne pour le droit des sociétés et des affaires, Nathalie Bailly-Cahen pour le droit du travail et les actualités sociales, Franck Brancaleoni pour toutes les questions fiscales. «Face au monde qui bouge, il faut mieux penser le changement que changer le pansement.» Comme à l’accoutumée, Maître Frédéric Ferry, le président de l’ACE Lorraine ouvre la session avec une bonne dose d’humour (ici en citant feu l’humoriste Francis Blanche). Ces «bonnes nouvelles» dans l’actualité juridiques sont additionnées «à la baisse du prix du pétrole, celle de l’euro ou celle des taux d’intérêts bancaires.» Que du bonheur en somme et les membres de l’ACE ont réussi à tirer les effets positifs d’un climat législatif toujours aussi mouvant. Les premiers soleils du printemps ont toujours des effets ravageurs mais il n’y a pas à dire, cela fait parfois le plus grand bien.