aquila RH : Agence pas comme les autres

Nom : aquila RH. Localisation : Vandœuvre-lès-Nancy. Effectif : 3. CA : 300 000 euros. Signe particulier : Franchise avec aquila RH.

Rosalba Williams, dirigeante de l’agence d’intérim et de recrutement aquila RH.
Rosalba Williams, dirigeante de l’agence d’intérim et de recrutement aquila RH.
Rosalba Williams, dirigeante de l’agence d’intérim et de recrutement aquila RH.

Rosalba Williams, dirigeante de l’agence d’intérim et de recrutement aquila RH.

En un an d’existence, aquila RH a été primée par deux fois (prix d’Entrepreneuriat au Féminin et prix Trajectoires). L’agence, dirigée par Rosalba Williams, voit le jour en novembre 2014 sous la franchise aquila RH. La chef d’entreprise se lance dans l’aventure du recrutement et de l’intérim avec une expérience de «près de 25 ans dans le monde du travail temporaire». Contrainte à un départ forcé en 2013, elle décide de suivre une formation en Master RH «parce que c’est ce que je fais de mieux, j’adore ça, c’est ce qui me passionne, c’est un métier riche» souligne-t-elle. Le contact avec les clients et les candidats la rend «fière et heureuse car c’est une activité noble qui rend service à la personne».

Un accompagnement spécifique

Rosalba Williams est très attachée aux relations humaines aussi bien pour les candidats que pour les entreprises. Son travail consiste à «rencontrer les bons candidats et les bonnes compétences pour les mettre à disposition des sociétés». Chaque client à son interlocuteur unique, elle gère le recrutement mais aussi toute la partie administrative et commerciale. Son approche particulière de sélection «de professionnels expérimentés», avec des contrôles de référence, la démarque qualitativement de la concurrence. Un an après sa création, la société a atteint l’équilibre financier. L’entrepreneure a maintenant pour perspective de compléter son équipe pour accompagner au mieux le développement des activités d’aquila RH avec un consultant spécialisé par métier, et pour projet d’ouvrir un second cabinet à Metz car elle «en connaît bien le marché et le bassin d’emploi».

camille.schaub