Martine Pinville fait son marché…

Passage sur le marché central de Nancy,  le 13 octobre, pour Martine Pinville, la  secrétaire d’État chargée du Commerce,  de l’Artisanat, de la Consommation et de  l’Économie sociale et solidaire.
Passage sur le marché central de Nancy, le 13 octobre, pour Martine Pinville, la secrétaire d’État chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire.

Martine Pinville, la secrétaire d’État chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire.

Martine Pinville, la secrétaire d’État chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire, était de passage à Nancy le 13 octobre à la rencontre des artisans-commerçants pour prendre la température du terrain du secteur et (ré)affirmer sa farouche détermination à défendre les labels locaux.

Un petit tour du marché central avec Philippe Marchand, président de l’association du marché nancéien, comme guide. Passage par la Maison Lalonde labellisée «La Lorraine, notre signature» et un détour chez les Soeurs Macarons certifiée «Entreprise du Patrimoine Vivant», Martine Pinville, la secrétaire d’État chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire, a peaufiné ses réflexions en prenant la température du terrain pour son étude sur la situation  du commerce de centre-ville qu’elle a mandaté. Cela tombe bien, Nicolas Mollet, le développeur du centre-ville et Sylvie Petiot, adjointe au maire en charge du développement économique tout comme Olivier Rouyer, conseiller délégué au commerce et la députée Chaynesse Khirouni participent à cette déambulation urbaine.

Défense des labels

Nancy s’affiche comme un excellent laboratoire en la matière avec une politique de la ville engagée dans la redynamisation du centre-ville de la cité ducale. L’implication des commerçants est, quant à elle, quotidienne et notamment dans la fameuse défense des labels locaux. Entre deux découvertes gustatives sur les étals nancéiens, la secrétaire d’État assure que «ces labels permettent de faire la différence et contribuent indéniablement à faire valoir nos savoir-faire locaux.» Des savoir-faire locaux à garder et à protéger. Une des nécessités (parmi d’autres) pour que le commerce de proximité perdure.

emmanuel.varrier