CCI : la dernière ligne droite

La campagne pour les élections aux CCI touche à sa fin. Les ressortissants ont jusqu’au  2 novembre pour voter.
La campagne pour les élections aux CCI touche à sa fin. Les ressortissants ont jusqu’au 2 novembre pour voter.

La campagne pour les élections aux CCI touche à sa fin. Les ressortissants ont jusqu’au 2 novembre pour voter.

Dernière ligne droite dans la campagne en vue des élections aux Chambres de commerce et d’industrie. Les ressortissants ont jusqu’au 2 novembre pour voter. L’enjeu est départemental mais surtout régional par la suite, avec la perspective à venir l’an prochain de la CCI Grand Est.
Meetings en tous genres, petit déjeuner de présentation, relance via les réseaux sociaux, la campagne pour les élections aux Chambres de commerce et d’industrie a atteint son apogée la semaine dernière. Jusqu’au 2 novembre, les ressortissants ont à élire leurs représentants au niveau départemental. Des élections départementales à fortes répercussions régionales par la suite avec l’arrivée effective de la CCI Grand Est prévue pour février 2017. L’enjeu est bien là et les résultats annoncés pour le 12 novembre prochain au niveau des élections aux CCI départementales laisseront donc entrevoir quel sera le poids de la Lorraine dans le futur hémicycle consulaire Grand Est face à une Alsace déjà quasi unie sur le sujet.
Stop ou encore…
L’union, tant recherchée par certains, aura-t-elle bien lieu ? Pas si sûr et la réponse semble déjà presque toute trouvée quand on regarde dans le rétroviseur de cette campagne où différentes listes se sont affrontées, notamment en Meurthe-et-Moselle et en Moselle. Une campagne où, il faut bien l’avouer, les différents candidats en lice ont mouillé la chemise comme rarement au niveau d’une élection consulaire. Les résultats des différents départements lorrains seront à suivre de près. Ce sont eux qui donneront réellement la tendance à venir en vue de la future CCI Grand Est. Pour certains, cela sera tout simplement stop ou encore. Verdict dans une petite quinzaine de jours.
emmanuel.varrier